Jacques Leroux – Artiste peintre et dessinateur

Le premier contact qu’à Jacques Leroux avec le monde de la création date de son enfance, lorsqu’il se prend de fascination pour un calendrier des postes avec des images toutes en aquarelle. Fils de fermiers, il passe alors beaucoup de temps à réaliser des dessins à la gouache pour s’évader et transmettre la beauté de cette nature qui l’entoure. Petit à petit, il parcourt de nombreux univers créatifs tels que le dessin, la peinture ou encore le théâtre. Après une longue pause, il reprend les pinceaux pour se consacrer à cette passion et là encore les médiums sont nombreux, il se lance dans la peinture à l’huile, se plaît à composer des tableaux à l’acrylique, mais une nouvelle fois c’est l’aquarelle qui va apparaître comme un coup de foudre.

Cette peinture à l’eau, spontanée et vibrante, va lui permettre de figer ses expériences, ses coups de cœur ou encore sa fascination pour la nature. Au grès des expositions, des promenades, il va composer des carnets de voyage pour se remémorer ces instants de paix un peu hors du monde. Alors, il part à l’aventure, photographie et croque ce qui émerveille ses yeux qu’il soit en Islande, à New York, au Pays de Galles ou encore en France. La composition sur papier apparaît alors comme un témoignage où l’artiste peut retranscrire ses sensations afin de partager une création émotionnelle, capable par le biais des nuances et des couches de venir saisir les ressentis et les souvenirs du regardeur.

Les œuvres de Jacques Leroux sont des incitations au voyage au travers d’un art exigeant patience et discipline. La beauté du geste, qui d’un mouvement fixe les souvenirs, rend les œuvres de l’artiste authentiques et vivantes. D’un seul coup d’œil, on se projette dans ce décor figuratif pour ressentir intérieurement la plénitude qui s’en dégage. Finalement, chaque composition est un partage, un lien entre l’artiste et celui/celle qui observe. C’est ainsi que l’aquarelliste, peintre et dessinateur prend soin de développer un langage silencieux où seul l’aspect sensoriel compte !