Liska Llorca – Artiste plasticienne

Liska Llorca – Artiste plasticienne

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La musique, la peinture, la poésie, la littérature et de nombreuses oralités artistiques vont bercer l’enfance de Liska Llorca qui grandit entourée de passionnés d’art. Néanmoins, c’est l’expression par le biais du dessin et de la peinture qui la charme. Alors, en parfaite autodidaxie elle parcourt ce monde créatif et apprend en essayant, en se trompant ou encore en explorant de nombreuses techniques. Elle tente de saisir l’excellence de l’interprétation. Alors, elle se découvre et abandonne petit à petit le crayon au profit de la peinture. Huile ou acrylique, de fil en aiguille, elle se lie à sa curiosité et se dévoile au travers du land art, de l’expression créative sur toile ou encore au travers du cirque happening où elle peut nouer avec sa muse ultime : les chevaux par le biais du Shodo.

Les matières valsent sur les tableaux de l’artiste, elles apparaissent comme des évidences pour cette passionnée éprise de curiosité. Elle dit : « On fait des erreurs et petit à petit on arrive à une maitrise de techniques, encore aujourd’hui, je découvre certains matériaux, c’est sans fin, on n’a pas assez de toute une vie à chercher. » Le stuc antique, le tulle, l’ocre, quel que soit le médium, l’expression spontanée et authentique de Liska Llorca vient nous saisir.

Sa passion pour le monde équin se niche au sein de chaque toile, la grandeur de cet animal et toute sa symbolique prend forme au travers de vibrations chromatiques riches en énergie. En un seul tableau, réalisé à la main, au pinceau ou encore au couteau, la plasticienne démontre la dualité qui imprègne le cheval. Elle dévoile sa fascination en disant : « Il s’agit d’un animal d’une grande beauté, capable du dressage le plus fin alors que c’est une masse qui peut tuer, pleine de force. »

Au travers d’une expression, elle exprime la crainte, la colère, la tranquillité et un large panel d’émotions pour parvenir à atteindre l’inconscient collectif afin de faire ressurgir une impression. Alors, on se laisse entraîner…

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